Les équipes sportives les plus rentables selon Forbes et leur valeur moyenne

Les équipes sportives sont comme des voitures de course pilotées par des champions en quête d'un titre. Chaque année, le classement Forbes calcule la valeur moyenne des franchises et révèle les plus rentables à travers le monde. Malgré la crise sanitaire, ce secteur a augmenté de 9,9% pour atteindre 3,4 milliards de dollars. Et cette tendance se retrouve aussi en France où 400 clubs et 1100 compétitions professionnelles offrent chaque mois aux amoureux du sport l'opportunité de développer leurs talents. Dans cet article, nous allons découvrir comment les équipes sportives les plus rentables selon Forbes arrivent à maintenir leur avantage concurrentiel et à optimiser leurs performances.

Les équipes sportives sont comme des voitures de course pilotées par des champions en quête d'un titre. Chaque année, le classement Forbes calcule la valeur moyenne des franchises et révèle les plus rentables à travers le monde. Malgré la crise sanitaire, ce secteur a augmenté de 9,9% pour atteindre 3,4 milliards de dollars. Et cette tendance se retrouve aussi en France où 400 clubs et 1100 compétitions professionnelles offrent chaque mois aux amoureux du sport l'opportunité de développer leurs talents. Dans cet article, nous allons découvrir comment les équipes sportives les plus rentables selon Forbes arrivent à maintenir leur avantage concurrentiel et à optimiser leurs performances.

Classement Forbes : Les franchises sportives américaines au sommet

Chaque année, le classement de Forbes récompense les franchises sportives qui dégagent le plus d'argent et en valeur. En 2020, on remarque la domination des franchises américaines à la première place du classement.

Voici les 10 premières :

  • Dallas Cowboys (5,5 milliards de dollars)
  • New York Yankees (5 milliards de dollars)
  • Los Angeles Lakers (4,4 milliards de dollars)
  • Barcelona (4,2 milliards de dollars)
  • Real Madrid (4,2 milliards de dollars)
  • New England Patriots (3,8 milliards de dollars)
  • New York Knicks (3,6 milliards de dollars)
  • Bayern Munich (3,2 milliards de dollars)
  • Arsenal (3,2 milliards de dollars)
  • Manchester United (3,1 milliards de dollars)

Cette présence massive des franchises américaines à la tête du classement est due à un fait très simple : elles sont celles qui réussissent le mieux. Elles disposent des meilleures infrastructures pour recevoir des joueurs professionnels et il y a une forte demande pour participer aux compétitions organisées par ces clubs.

Augmentation de la valeur moyenne des franchises malgré la crise sanitaire

Malgré la pandémie mondiale qui a frappé l'année 2020, il ne faut pas oublier que les franchises sportives ont globalement bien résisté. La valeur moyenne d'une franchise a augmenté de 9,9% pour atteindre 3,4 milliards de dollars.

Cela peut surprendre certains lecteurs qui ne savent pas comment les différents clubs sont parvenus à générer autant d’argent malgré la crise sanitaire.

En effet, l'impact direct de la COVID-19 n'a pas été assez important pour dégrader durablement les performances financières des franchises sportives. Beaucoup d'entre elles ont adapté leurs modèles économiques en trouvant des opportunités numériques dans le contexte actuel et en travaillant plus étroitement avec leurs partenaires commerciaux existants.

Grâce à ces nouveaux canaux de distribution et aux produits innovants qu'ils proposent, les clubs ont pu continuer à générer des revenus considérables.

Pour tenter d'atteindre cet objectif, le gouvernement a mis en place un plan de relance de 100 millions d'euros pour soutenir le développement et la promotion du sport professionnel, ce qui devrait permettre à plusieurs clubs français de rejoindre les principales franchises mondiales.

Malgré cette initiative, il reste encore beaucoup à faire avant que la France ne puisse être considérée comme une grande nation sportive. La principale préoccupation étant de créer des compétitions attractives pour les spectateurs et d'attirer plus de sponsors afin de générer des revenus supplémentaires pour les clubs.

Les prochains mois seront donc cruciaux pour le développement du sport automobile en France et devraient nous apprendre si le pays est capable d’atteindre ses ambitions.